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mardi 31 janvier 2012
vendredi 27 janvier 2012
jeudi 26 janvier 2012
mardi 24 janvier 2012
La Seine Saint-Denis, laboratoire de toutes les démocraties

La Seine Saint Denis, territoire de tous les possibles, lieu où les différents visage de la France d'aujourd'hui se côtoient, se mêlent, se repoussent, peinent à se trouver une place dans un destin collectif. Ces villes populaires ne sont pas à part : elles sont le lieu où notre destin commun se joue; Leurs fragilités affaiblissent tout le pays et leur réussite sera le marqueur de la gauche revenue au pouvoir ...
édition Tallandier.com
dimanche 22 janvier 2012
Le discours de François Hollande au Bourget
Session de rattrapage pour ceux qui n'auraient pas vu ou entendu parler du discours prononcé par François Hollande ce dimanche 22 janvier.
mardi 17 janvier 2012
grand meeting national de François Hollande

Hall 2 Paris Le Bourget - Parc d'Expositions, Carrefour Charles Lindbergh, Le Bourget, France
Pour s'y rendre :
Autoroute : A1
Gare ferroviaire : Gare de l'Est, Gare du Nord
RER : B, Le Bourget
Bus : 350, 152, Michelet Parc d'Expositions
Métro : Ligne 7, La Courneuve 8 mai 1945
Libellés :
François Hollande
Pays/territoire :
Le Bourget, France
lundi 16 janvier 2012
Daniel Goldberg, candidat du Parti Socialiste
Lors d'un vote commun aux villes d'Aulnay Sous Bois, Les Pavillons Sous Bois et de Bondy, les militants du Parti Socialiste ont fait le choix de soutenir la candidature (à plus de 87 %) de Daniel Goldberg pour la 10éme circonscription de Seine Saint-Denis.
Sa suppléante est Latifa Bezzaouya, secrétaire de section d'Aulnay.
Libellés :
aulnay sous bois,
législative,
vie de la section
Pays/territoire :
Aulnay-sous-Bois, France
dimanche 15 janvier 2012
Gérard Ségura, invité de France Bleu
Demain matin, Gérard Ségura, maire d'Aulnay Sous Bois sera l'invité de la station radio France Bleu à 8h30. A écouter sur 107.1 en attendant le podcast sur ce site.
samedi 14 janvier 2012
François Hollande : "La dégradation de notre note financière est grave"

Texte intégral de la déclaration de François Hollande
"La France vient de perdre son triple A.
Je n'ai jamais fait des agences de notations la référence ultime pour
juger les politiques conduites par les États et encore moins par le
notre.
Je déplore que l'Europe ne se soit pas
dotée d'une agence publique indépendante pour évaluer la capacité des
pays de la zone euro à rembourser leurs emprunts.
vendredi 13 janvier 2012
Une journée dans la vie du maire d'une banlieue en crise
Gérard Ségura, maire d'Aulnay-sous-Bois, a dû faire face aux tensions qui ont secoué, depuis le 11 janvier, les cités de sa ville après la mort d'un jeune lors d'un contrôle policier. Une gestion de crise qu'il connaît bien.
Il n'a dormi que deux petites heures avant que son portable ne sonne à nouveau, à 4 h 15. Cette fois, un appel de journaliste voulant vérifier une information matinale. Le téléphone raccroché, Gérard Ségura a refermé les yeux mais ne s'est pas rendormi. Trop de questions en tête. Quand on le retrouve, jeudi 12 janvier au matin, le maire (PS) d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) a les traits tirés. Il sait, pourtant, que sa journée ne fait que commencer.
Depuis vingt-quatre heures, les cités de sa ville sont sous tension. Un climat étrange et électrique où se toisent policiers en tenue de protection et jeunes en capuche. Mardi soir, Abdelilah El-Jabri, un jeune homme de 25 ans, est mort dans le quartier de Balagny après une intervention de quatre policiers de la brigade anticriminalité (BAC). Le jeune homme souffrait de problèmes cardiaques. Son coeur s'est arrêté durant l'interpellation. " Une rupture de l'aorte, déjà fragile, liée à une maladie génétique " , a précisé le parquet, qui a écarté l'hypothèse des violences policières. Mais l'explication médicale n'a pas satisfait les amis d'Abdelilah El-Jabri qui ont promis de venger sa mort. Le mot a été passé par SMS et sur Facebook à la cité des 3 000 et à la cité de l'Europe, les autres quartiers sensibles de la ville. Pour y faire face, policiers et personnels de la mairie ont été mobilisés jusque tard dans la soirée.
En ce jeudi matin, Gérard Ségura, installé dans son bureau, fait le point des événements de la nuit écoulée. L'homme, affable, a revêtu un polo bleu qu'il a boutonné jusqu'au cou. La tenue est confortable. Il sait qu'il en aura besoin. Face à lui, Maurice Signolet, commissaire de police, crinière blanche et pull noir, à trois ans de la retraite. Le policier touille son café machinalement en rendant compte de la soirée : " Dans l'ensemble, ça ne s'est pas trop mal passé. Il y a eu quelques feux de poubelles, plusieurs générateurs qui ont sauté et deux personnes arrêtées à bord d'une Twingo volée, avec des bidons d'essence. Mais c'est tout. "
A Balagny, quelques jeunes ont aussi tenté d'incendier l'épicerie du quartier mais ont rapidement été stoppés dans leur élan par la police. Le maire écoute en hochant la tête et ajoute : " Par contre, les gars de la BAC ont commencé à contrôler les identités à la cité de l'Europe. Et sans raison. Tout était calme là-bas. Il ne faut pas jeter d'huile sur le feu ! " Le commissaire acquiesce à son tour. Les deux hommes savent, par expérience, toute l'importance qu'il y a à ne pas opposer frontalement jeunes et policiers. Médiateurs de quartier, gardiens d'école, responsables jeunesse et élus municipaux ont été mis à contribution pour jouer les tampons entre les deux camps. A Balagny, le commissaire Signolet a fait reculer les CRS de quelques centaines de mètres pour qu'ils n'apparaissent plus directement dans le champ de vision des jeunes. " Il faut laisser la cité faire son deuil " , analyse-t-il.
mercredi 4 janvier 2012
mardi 3 janvier 2012
Lettre de François Hollande
"Le Changement, c'est maintenant"
Je suis candidat à l’élection
présidentielle pour redonner à la France l’espoir qu’elle a perdu depuis
trop d’années. Les Français souffrent. Ils souffrent dans leurs vies :
le chômage est au plus haut parce que la croissance est au plus bas ; la
hausse des prix et des taxes ampute leur pouvoir d’achat ; l’insécurité
est partout ; leurs emplois s’en vont au gré des fermetures d’usines et
des délocalisations industrielles ; l’école, l’hôpital sont attaqués et
n’assurent plus l’égalité entre citoyens ; l’avenir semble bouché pour
eux et pour leurs enfants ; la jeunesse se désespère d’être maintenue en
lisière de la société. Les Français souffrent aussi dans leur âme
collective : la République leur paraît méprisée dans ses valeurs comme
dans le fonctionnement de ses institutions, le pacte social qui les unit
est attaqué, le rayonnement de leur pays est atteint et ils voient avec
colère la France abaissée, affaiblie, abîmée, «dégradée».
dimanche 1 janvier 2012
2012, l'année du changement.
voici les voeux de François Hollande (@fhollande)
Mes Chers Concitoyens,
L'année qui s’achève a été rude. L’économie s'est ralentie, le chômage a repris sa marche infernale, la précarité s'est diffusée à de trop nombreuses familles, le pouvoir d'achat s’est souvent réduit à une peau de chagrin.
La crise a sa part dans cette dégradation de la situation. Mais la responsabilité se situe autour de décisions insuffisantes, imprudentes, qui ont abouti à laisser la spéculation et les marchés imposer leurs rythmes et leurs intérêts.
Il y a eu aussi depuis près de cinq ans des choix injustes qui ont allégé les impôts des plus fortunés et multiplié les prélèvements sur l'immense majorité des Français. Les inégalités se creusent. Je les vois tous les jours. Les exemples abondent : richesse indécente, pauvreté insupportable.
Nous finissons l'année 2011, j’en ai conscience, dans l'incertitude.
La zone euro, après seize sommets de la dernière chance, est toujours en crise. La récession menace. Des entreprises annoncent des plans de suppression d'emplois. L’Ecole de la République voit ses moyens mis en cause et les jeunes s'interrogent sur leur propre avenir.
Chacun sait en plus, même s’il est occulté, qu'un nouveau plan de rigueur est en préparation. Bref, je comprends les inquiétudes, j'entends les colères, je perçois les défiances. Je vois les doutes.
Mais je connais aussi les attentes. Parce que l'année qui arrive, l’année 2012, sera celle du choix : choix d’un nouveau Président, choix d'un nouveau destin pour la France.
Je veux que cette échéance se situe au niveau des défis qui nous attendent : le redressement de la France, redressement de ses finances publiques, redressement de sa production, redressement de l'industrie, de l'agriculture, des services qui concourent au mieux-être de chacun. Mais aussi le redressement moral, autour des valeurs de la République qui ont été froissées ces dernières années.
La France est un grand pays avec une grande Histoire. Elle a toujours su se rassembler autour de ses principes. Le premier, c'est l’égalité.
L'année 2012, si vous me donnez votre confiance, sera celle de la réforme fiscale, de la justice sociale - sur les retraites, la santé - de la justice entre les territoires. La justice, l’égalité sont les conditions pour que l’effort soit consenti.
Je forme le vœu que l'année 2012 soit celle d'une grande mobilisation autour d'une belle cause : la jeunesse. Nos enfants doivent vivre mieux que nous. Nous devons donner à la génération qui vient des chances nouvelles pour sa formation, son entrée dans la vie professionnelle, son accès au logement.
2012 c'est l'année du changement. En tournant la page de 2011, nous devons fermer le quinquennat qui s'achève. Il a été inconséquent, incohérent, injuste. Il a divisé, heurté, abimé.
En 2012, je veux réunir les Français autour d'une belle et possible espérance, donner à la France toute sa place dans le monde et en Europe. Cette Europe, que je veux bien sûr stable dans la zone euro, mais capable de produire une dynamique de croissance, un autre rapport avec les citoyens.
En 2012 je veux surtout que les Français reprennent confiance en eux-mêmes et vivent en harmonie, en solidarité, en sécurité, avec cette fierté commune de relever, ensemble, notre pays.
Je souhaite à chacune et chacun d'entre vous une bonne année.
Le changement, c'est maintenant !
Vive la République,
Vive la France.
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